Un jour de semaine, mon troizans déjeune à la maison avec une lenteur et une capacité de dispersion qui a le don de m’agacer.
Aussi, je m’en vais lui demander de se concentrer sur le contenu de son assiette et d’accélérer la cadence. Mais voilà que je le trouve affairé à tripoter son entrejambe…
– La mère remontée : « Dis donc TOI, tu veux bien laisser TON ZIZI tranquille et terminer TON REPAS ! »
– Le fils offusqué : « Mé naaan, c’est MON TOPAIN !!! »
(NDLR : Mais non, c’est mon copain !!!)
< Bah voyons… c’est qu’il va nous sortir « le copain » au resto bientôt ! >